A partir du moment où on parler de dominé et de dominant, n'est-ce pas tout de même révélateur d'un problème existant? Sans tomber dans des notions extrémistes, comme le fait l'auteur, n'y a-t-il tout de même pas certaines critiques et amélioration à faire de notre société actuelle? Doit on se contenter de ce qu'on a et remercier le passé malgré le fait que ces résultats soient obtenus au détriment d'autres minorités? La seule justification faite c'est que "on aurait pas ce qu'on a aujourd'hui si on ne l'avait pas fait"... ok. Mais aurait pas ce qu'on a aujourd'hui sans certaines révolutions, sans certaines modifications de pratiques (esclavage, sexisme, etc). Est-ce que le respect de l'autre ne doit il pas aller dans les deux sens? Est-ce que construire une société plus collaborative et respectueuse des "dominés" (je cite les propos de l'auteur) ne serait il pas la nouvelle clé de l'évolution afin d'exploiter toutes les richesses individuelles? Finalement nous ne savons pas si nous aurions pu faire mieux si nous nous contentons seulement de ce qu'on a, nous ne pouvons nous améliorer. Or, dans une vie humaine, cela devrait être une éternelle quête. Enfin, ces paroles et cette interprétation viennent concrètement d'un des dits "dominants" qui voit ces privilèges peut être menacés par ces mouvements. Ne faudrait il pas interrogés quelqu'un de documenté qui viendrait porter l'argumentation contraire sans tomber dans les clichés de ceux interrogés par les journalistes télé?
Enfin pour l'étude d'une partie plus sombre de notre histoire coloniale, je vous invite à suivre "histoires_crepues" sur les réseaux, très intéressant.
Excellent entretien. La pédagogie est toujours préférable à l'idéologie.
De l absurde comme mode de fonctionnement.
A partir du moment où on parler de dominé et de dominant, n'est-ce pas tout de même révélateur d'un problème existant? Sans tomber dans des notions extrémistes, comme le fait l'auteur, n'y a-t-il tout de même pas certaines critiques et amélioration à faire de notre société actuelle? Doit on se contenter de ce qu'on a et remercier le passé malgré le fait que ces résultats soient obtenus au détriment d'autres minorités? La seule justification faite c'est que "on aurait pas ce qu'on a aujourd'hui si on ne l'avait pas fait"... ok. Mais aurait pas ce qu'on a aujourd'hui sans certaines révolutions, sans certaines modifications de pratiques (esclavage, sexisme, etc). Est-ce que le respect de l'autre ne doit il pas aller dans les deux sens? Est-ce que construire une société plus collaborative et respectueuse des "dominés" (je cite les propos de l'auteur) ne serait il pas la nouvelle clé de l'évolution afin d'exploiter toutes les richesses individuelles? Finalement nous ne savons pas si nous aurions pu faire mieux si nous nous contentons seulement de ce qu'on a, nous ne pouvons nous améliorer. Or, dans une vie humaine, cela devrait être une éternelle quête. Enfin, ces paroles et cette interprétation viennent concrètement d'un des dits "dominants" qui voit ces privilèges peut être menacés par ces mouvements. Ne faudrait il pas interrogés quelqu'un de documenté qui viendrait porter l'argumentation contraire sans tomber dans les clichés de ceux interrogés par les journalistes télé?
Enfin pour l'étude d'une partie plus sombre de notre histoire coloniale, je vous invite à suivre "histoires_crepues" sur les réseaux, très intéressant.
Bonne journée!